voila la taille du paquet...

Bon, ben voila...
Le pingouin n'est plus grincheux, il est depressif : "

le principal symptôme qui ressort peut être assimilé à un ennui chronique et profond, un élément distincitf à ratacher à un début de depression

"...
super, non...

A priori, une compensation d'un manque affectif ou je sais pas quoi... pas tout compris sur ce coup là... en meme temps, un généraliste ne fait pas un psy, et un psy ne fait pas le menage... il montre juste où est la poussiere...
Mais bon, on va pas se laisser abattre, non ? il y a encore de jolies jupes qui volent au vent...
alors, on ressort des vieilleries du placard à chansons... : comme ce "So cold the night"...

EDIT : effectivement, la chanson est reprise sur darkmoon, c'est normal, puisqu'elle est de moi...
sinon, elle dure effectivement + d'une minute, meme si elle n'a jamais été vraiment terminée... j'ai juste un arrangement piano+voix .. mais je l'ai en entier dans la tete, avec envolée pour le solo de guitare et tout et tout... reste à trouver le temps (et le bon moment) pour ressortir tout mon matériel et enregistrer tout ca proprement... et pour répondre aux mails de Kmille (ca y est, j'ai une fan...), j'ai un peu plus de 100 chansons en stock...
et merci, ca va mieux...: j'ai abandonné l"idée du psy...

La scène :

Un poulet au bord d'une route. Il la traverse.

La question:

Pourquoi le poulet a-t-il traversé la route ?

Réponse :

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Enfin, mon pressing est riche, mais j'ai pas encore de tailleur attitré...
Tout ca pour introduire la magnifique capacité à communiquer dans la langue de Shakespeare... (l'auteur, pas le footballeur...)

C'est un Français, un Italien, et un Espagnol qui sont candidats pour le même poste. Ils doivent prouver un bon niveau en Anglais. Pour cela, on leur demande de dire une phrase en Anglais, en y plaçant les mots green, yellow et pink.

L'Espagnol propose : "In the morning I wake up, I open the window and look at the green grass, the pink flowers and the yellow sun..."

L'Italien lui propose : "In the morning I wake up in my yellow bedroom, I take of my green pyjamas and I eat toasts with pink marmelade."

Le Français déclame : "In the morning, I hear the phone : "green, green..." ; I pink it up and I say : "Yellow ?""

Ca vous rappelle quelquechose ? un proche, un collegue peut-être...?   

attack of the tomato killers
Originally uploaded by thoschi.

Ca y est... on rallume le chauffage, on ressort les couettes, les capuches et les parapluies... L'automne arrive...

lu sur Bashfr

Mazamune : Pourquoi utiliser Windows que d'autres systèmes d'exploitations gratuits ? Et bien c'est un peu comme comparer des voitures à des vélos. Mazamune: Une voiture c'est cher, ça marche rarement bien, ça pollue. Mazamune : Quant à lui, le vélo est propre, marche quasiment tout le temps et n'est pas très cher... Mazamune: Mais bon, on est au moins un milliard à rouler en voiture.

J'aime à penser, et malheureusement j'ai le regret de constater, que de plus en plus de managers laissent la place à des gestionnaires, et que nous glissons de plus en plus rapidement de gestion des ressources humaines, à gestion des ressources...

La prise de position suivante ne peut donc que me conforter sur mes positions :

Pour eux, la connaissance se limite au capital intellectuel: les marques, les brevets, les procédés... Cela s'achète et se vend. Mais la valeur centrale du capital social que constituent les liens vivants entre les personnes est largement ignorée. Ainsi, l'action du manager au quotidien concerne-t-elle avant tout l'exploitation des gisements de productivité. La tentative d’introduire dans les tableaux de bord de management quelques indicateurs de performance liés aux activités de connaissance - l'enseignement et le renseignement - se révèlent dans l'ensemble peu efficaces, et les initiatives de "Knowledge Management" décevantes. En règle générale, ces programmes restent ainsi les parents pauvres du changement. Leur financement est cyclique, et peu propices à la construction d’une véritable intelligence collective.

via Les managers savent-ils gérer le capital social de leur entreprise ? - Faut le savoir

Je suis convaincu que la voiture en région parisienne peut avantageusement être remplacée par les transports en communs...(sans parler de paris intramuros...). Et certaines circonstances me donnent parfois raison :

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Tout commence par un coup de sac à main en pleine figure...
Une voix fluette, mais suave, bredouille quelques mots d'excuse ; pas facile de trouver une place libre.. Les regards se croisent, un petit sourire accuse reception du court echange.
Le sac à main n'était qu'une entrée en matiere ; apres quelques instants, mon tibia est gratifié d'un généreux coup de pied qui me fait lever les yeux, et croiser à nouveau ceux de ma voisine. L'objet du délit ? un croisement de jambe malheureux a projeté la pointe de sa botte contre ma jambe... une botte délicate, au talon fin et droit, qui épouse le galbe de sa jambe jusqu'au genou, où la cuisse prend le relais avec sa gaine de lycra noir.
Coup de frein.
Le livre tombe et une main parfaitement manucurée se lance à sa poursuite....
je leve les yeux pour apercevoir un coin de paradis : le décolleté ravageur de son chemisier immaculé ne cachait rien de sa poitrine aggressive, ferme et dorée.
Désolée... décidément, je vous en veux!
Ce n'est rien, vraiment...
tout le plaisir était pour moi...

En Mauritanie, le gavage des jeunes filles était courant, comme un pratique culturelle passée dans les coutumes...(pratique egalement rencontrée au Mali et au Niger)
Pourquoi ?
L'obésité est perçue comme un signe extérieur de beauté et de bonne santé, sinon de richesse. Si on mange bien, c'est qu'on en a les moyens...
Mais cette pratique est tellement ancrée que meme les récents accès volontaristes du gouvernement mauritanien pour l'erradiquer ne peut que se heurter à des freins :

« Quand on les interroge, les femmes disent qu’elles veulent bien maigrir, mais à condition que les hommes soient sensibilisés pour qu’ils changent leurs propres canons de beauté »

La réalité est que les Mauritaniens préfèrent les grosses femmes...

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